je passe par hasard. Ce hasard là fait du bien ! Ma préférences à la fulgurance où j'envie la spontaneité du support et de la forme.

Surprise sur poses !
Quels étonnants dessins, Raoul. Je comprends mieux les allusions récentes à ta torture ou complexité intérieure qui ressort assez simplifiée par le dessin finalement !
J'ai bien aimé tes amis mais je me suis plutôt faite la réflexion que tu écrivais bien ! N'as-tu pas songé à t'orienter dans cette voie de l'écriture aussi (ou plutôt !? ;-))
Bises

enfin....

ce matin au réveil "un p'tit gars pour la fille" c'est un bonheur. Toujours "plus" dans le trait et l'expression, j'adore. Myspace c'est bien mais le blog aussi....Notre ministre de la culture a fait sa première sortie hier au Musée Contemporain de Vitry...pas mal.

enfin ce matin un signe est arrivé et cela m'a mise en joie. Peinture et texte tout y est et avec bonheur. Raoul ne nous a pas oubliés, nous qui partageons, nous qui aimons, nous qui attendons. Bienvenue à ce nouveau personnage Tchao

Où est passé ton petit bonnet ? Sommes-nous à l'ère d'un nouveau style? L'inspiration fin 2006/2007 va encore certainement nous surprendre, on est impatient

Avant l'été j 'ai vu Gaston Chaissac faire de l'art avec le papier peint de ma grand- mère. Ma grand mère s'appellait Raymonde. C'était un grand poète aussi mais sa poésie à elle , c'était juste des expressions truculentes qu'elle nous débitait toute la journée.
Ma grand mère, quand elle voulait dessiner ,elle ouvrait son livre de comptes et elle notait ses dépenses.

Dans ma famille, il ya 4 enfants et moi et et pas de papa et de l'amour il y en a à revendre comme jamais avec des calins et de la tendresse et des baisers et les boules de neige quand on les échange c'est pour rigoler.
Dans mon dessin à moi il ya pas de papa qui fait semblant de me protéger, qui fait mine de me soutenir.
Ma famille à moi, elle est branchée et mes fils grandissent sans père pour leur dire quoi faire et comment devenir père.

Virginia,une femme par accident sort du pinceau inspiré de Raoul allumé
Elle s'étire et fait la pose pendant qu'il ramasse par erreur sa toile tombée parterre
Virginia sort de son tas de glaise;
elle emmerge sans complexes de son amas de cailloux
Et se fout bien des états d'ames du peintre et des lois de la pesanteur.

certains seraient si heureux d'avoir le coup de pinceau, d'autres d'avoir le verbe, mais les deux c'est bien. Paulette a bien de la chance, et je l'imagine facilement par les tracés de la peinture et par les mots choisis. Pourrais-tu imaginer Elisa? Salut